AVIS DE VACANCE DE POSTE: FONCTIONNAIRE
CHARGÉ DE LA FORMATION (GMES & AFRIQUE)
CHARGÉ DE LA FORMATION (GMES & AFRIQUE)
L’Union africaine, créée en tant qu’organisation continentale panafricaine unique en son genre, a pour mission de conduire le processus d’intégration rapide et de développement durable de l’Afrique pour la promotion de l’unité, de la solidarité, de la cohésion et de la coopération entre les peuples d’Afrique d’une part et entre les Etats africains d’autre part ainsi qu’à travers l’établissement d’un nouveau partenariat avec les autres régions du monde. L’Union africaine a son siège à Addis-Abeba, capitale de l’Ethiopie.
En vue de la réalisation de cet objectif, l’Union africaine entend renforcer sa capacité à s’acquitter de sa mission en procédant, entre autres, à la mise en place de sa structure organisationnelle. Consciente du rôle que le secteur de l’observation terrestre joue dans le développement socioéconomique, la Commission met à présent en œuvre l’initiative de la surveillance mondiale de l’environnement et de la sécurité en Afrique (GMES & Afrique).
La commission de l’Union africaine invite par la présente les professionnels qualifiés et ressortissants des États membres à faire acte de candidature au poste de Fonctionnaire chargé de la formation pour le projet de GMES & Afrique dans la division de la science et de la technologie.
1. Poste:
Titre: Fonctionnaire chargé de la formation
Grade: P2
Supérieur hiérarchique: Coordonateur de projet
Lieu d’affectation: Addis-Abeba (Éthiopie)
Grade: P2
Supérieur hiérarchique: Coordonateur de projet
Lieu d’affectation: Addis-Abeba (Éthiopie)
2. Contexte
L’initiative de la surveillance mondiale pour l’environnement et la sécurité en Afrique (GMES & Afrique) vise à créer un renforcement des capacités et le partenariat à long terme entre la Commission de l’Union africaine et l’Union européenne dans le but d’assurer des services durables, fiables et en temps voulu aux décideurs publics sur des questions liées à l’environnement et à la sécurité. GMES & Afrique est une extension du Programme européen Copernicus à l’Afrique. Lancée à (Lisbonne) Portugal le 7 décembre 2007 lors du deuxième Sommet UE-Afrique en réponse à la Déclaration de Maputo signée en octobre 2006, l’initiative vise également à mettre en place un cadre général en Afrique pour les applications de l’observation terrestre. Le but est également de mettre en place un cadre général en Afrique pour les applications de l’observation terrestre afin d’appuyer les politiques nationales et régionales par l’exploitation systématique des données, les technologies et les services d’observation de la terre en tirant profit des avantages offerts par le Programme Copernicus.
Un plan d’action a été mis au point dans le but de permettre à l’Afrique d’utiliser au maximum les potentialités des systèmes spatiaux pour le développement durable et le renforcement des capacités en Afrique et de s’approprier l’utilisation et la contribution aux applications de télédétection. Neuf domaines thématiques ont été identifiés: (1) la gestion à long terme des ressources naturelles, (2) la gestion marine et côtière, (3) la gestion des ressources en eau, (4) la variabilité ou le changement climatique, (5) la réduction des risques de catastrophes, (6) la sécurité alimentaire et le développement rural, (7) les infrastructures et l’aménagement du territoire, (8) le règlement des conflits, (9) la santé. Par ailleurs, cinq secteurs transversaux, notamment : (a) la politique et le cadre institutionnel, (b) le cadre des infrastructures, (c) le renforcement des capacités, (d) les questions financières, (e) le suivi et l’évaluation ont été identifiés. Les trois premiers domaines thématiques ont déjà été évalués et une étude d’identification pour la mise en œuvre a été achevée. Au titre de cette formulation, la Commission est en quête d’un candidat au poste de fonctionnaire chargé de la formation pour le projet GMES & Afrique.
3. Principales fonctions et responsabilités:
Sous la supervision directe du coordinateur de projet, les responsabilités et les fonctions du titulaire comprennent:
a. travailler en étroite collaboration avec les fonctionnaires principaux scientifiques, les centres régionaux de mise en œuvre et les partenaires pour identifier les lacunes en connaissance et capacité;
b. renforcer les capacités et la stratégie de formation pour le programme de G&A programme et l’approuver au niveau de la prise de décisions;
c. sur la base de la stratégie, identifier les compétences et les connaissances à développer (i) au sein des centres régionaux de mise en œuvre, et (ii) dans les pays afin d’assurer la réussite de la mise en œuvre du programme G&A et la réalisation des résultats attendus ;
d. élaborer en conséquence un plan de renforcement des capacités (ce plan comporterait, entre autres, le programme de formation, le programme d’échange d’experts inter-RICs, les liaisons avec les institutions européennes ou internationales assurant la formation ou le matériel de formation, la liaison avec l’université panafricaine, etc.) ;
e. contacter les centres de formation potentielle qui pourraient organiser la formation au niveau continental et contacter les formateurs potentiels qui pourraient assurer les cours appropriés ;
f. préparer les termes de référence pour les activités de formation à mettre au point au niveau continental (communes à toutes les régions) et mobiliser les fonds au sein du projet (niveau continental ou des fonds ou ailleurs) pour exécuter ces activités;
g. apporter une contribution à la recherche et aux services de développement liés au projet;
h. veiller à ce que le projet réponde aux normes internationales et que la capacité locale soit améliorée;
i. collaborer avec les centres régionaux de mise en œuvre pour veiller à ce que les équipes techniques locales et les membres du réseau national (exemple de point focal, les membres principaux) soient effectivement formés en explorant la capacité ses universités;
j. rendre compte du progrès des renforcements des capacités au comité directeur du projet et aux partenaires;
k. participer aux ateliers importants, aux séminaires et aux réunions régionales.
l. identifier d’autres compétences à développer plus généralement en Afrique pour renforcer l’utilisation de l’observation de la terre et son impact sur les processus de prise de décision;
m. être en liaison avec les universités et l’Institut des études spatiales de l’Université panafricaine pour la recherche, le renforcement des capacités et la formation pratique.
b. renforcer les capacités et la stratégie de formation pour le programme de G&A programme et l’approuver au niveau de la prise de décisions;
c. sur la base de la stratégie, identifier les compétences et les connaissances à développer (i) au sein des centres régionaux de mise en œuvre, et (ii) dans les pays afin d’assurer la réussite de la mise en œuvre du programme G&A et la réalisation des résultats attendus ;
d. élaborer en conséquence un plan de renforcement des capacités (ce plan comporterait, entre autres, le programme de formation, le programme d’échange d’experts inter-RICs, les liaisons avec les institutions européennes ou internationales assurant la formation ou le matériel de formation, la liaison avec l’université panafricaine, etc.) ;
e. contacter les centres de formation potentielle qui pourraient organiser la formation au niveau continental et contacter les formateurs potentiels qui pourraient assurer les cours appropriés ;
f. préparer les termes de référence pour les activités de formation à mettre au point au niveau continental (communes à toutes les régions) et mobiliser les fonds au sein du projet (niveau continental ou des fonds ou ailleurs) pour exécuter ces activités;
g. apporter une contribution à la recherche et aux services de développement liés au projet;
h. veiller à ce que le projet réponde aux normes internationales et que la capacité locale soit améliorée;
i. collaborer avec les centres régionaux de mise en œuvre pour veiller à ce que les équipes techniques locales et les membres du réseau national (exemple de point focal, les membres principaux) soient effectivement formés en explorant la capacité ses universités;
j. rendre compte du progrès des renforcements des capacités au comité directeur du projet et aux partenaires;
k. participer aux ateliers importants, aux séminaires et aux réunions régionales.
l. identifier d’autres compétences à développer plus généralement en Afrique pour renforcer l’utilisation de l’observation de la terre et son impact sur les processus de prise de décision;
m. être en liaison avec les universités et l’Institut des études spatiales de l’Université panafricaine pour la recherche, le renforcement des capacités et la formation pratique.
4. Compétences et expériences requises:
a. les candidats doivent être titulaires d’au moins la licence en science spatiale, en technologies géospatiales, en sciences environnementales ou dans un domaine connexe ;
b. parler couramment anglais et/ou français. La connaissance d’autres langues officielles de l’Union africaine sera un atout ;
c. avoir deux ans d’expérience en sciences spatiales ou dans les disciplines connexes ;
d. avoir l’expérience professionnelle au niveau international.
5. Connaissances et compétences
a. le candidat doit avoir une connaissance de l’observation terrestre et prouver le rôle des technologies d’observation de la terre comme outils essentiels pour le contrôle de l’environnement et comment ils soutiennent le développement durable;
b. se familiariser avec les programmes d’observation de la terre tels que l’AMESD et MESA sera un atout;
c. expérience dans les programmes de formation de l’observation de la terre (plans de formation, objectifs d’apprentissage, conduit de l’évaluation de la formation, etc.) ;
d. expérience en logistiques de la formation, à savoir, la spécification des besoins de formation, l’arrangement des aspects de la logistique des stages de formation au niveau international (exemple : voyage, visa, etc.) ;
e. avoir l’aptitude à identifier les lacunes et élaborer les programmes de formation nécessaires; combiner avec l’aptitude à effectuer la collecte des données en se servant de diverses méthodes;
f. avoir des compétences en analyse conceptuelle et d’évaluation pour mener la recherche et l’analyse indépendante, y compris la familiarité et l’expérience dans l’utilisation de diverses sources de recherche;
g. être en mesure de garder la communication constante avec les centres régionaux de mise en œuvre. Il/elle devrait être en mesure de travailler en étroite collaboration avec les collègues pour atteindre les objectifs de l’organisation;
h. assumer toutes les responsabilités et honorer les engagements; travailler conformément aux règles et règlements institutionnels;
i. avoir une bonne connaissance de l’outil informatique est souhaitée à savoir les connaissances des applications génériques de logiciel: Microsoft Word, Excel, PowerPoint etc.;
j. la connaissance du système de l’Union africaine sera un atout.
6. Égalité des chances:
En tant qu’employeur, la Commission de l’UA applique une politique d’égalité des chances et encourage vivement les femmes compétentes à soumettre leurs candidatures.
7. Rémunération:
Le salaire correspondant à ce poste est une somme forfaitaire de 69,044 dollars E.U. (P2 échelon 1) par an y compris toutes les autres indemnités accordées au personnel recruté au plan international de la Commission.
8. Termes et conditions
La nomination au poste se fera sur une base contractuelle de deux ans renouvelable sous réserve de la performance satisfaisante et de la disponibilité des fonds.
Les dossiers de candidature doivent être envoyés par voie électronique, au site de recrutement de la Commission de l’Union africaine, à l’adresse suivante: http://www.aucareers.org au plus tard le 14 mai 2016
Direction de l’administration et de la gestion des ressources
humaines de la Commission de l’Union africaine
Addis-Abeba (Éthiopie)
humaines de la Commission de l’Union africaine
Addis-Abeba (Éthiopie)