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Saturday, November 14, 2015

Évaluation programme éducation/renforcement droits humains Burundi

by Unknown  |  at  2:42 AM

Termes de référence
Évaluation de l'impact du Programme Remesha
Date limite de soumission: 27novembre 2015IntroductionIntroduction
Depuis 2012, le Programme de Renforcement des Capacités en Droits Humains (Human Rights Capacity Building Programme, HURICAP) –anciennement Programme Spécial sur l'Afrique, SPA en Anglais- d'Amnesty International Pays-Bas (AI/HURICAP) travaille avec un groupe d'organisations locales au Burundi dans le cadre d’un programme appelé Remesha (« Donner l’espoir aux désespérés », en Kirundi), dont l'objectif global est de contribuer à une culture des droits de l'homme et à une vie digne pour les personnes défavorisées dans le pays.
Le programme Remesha est l’un des trois programmes-pays actuellement soutenus par HURICAP en Afrique, les deux autres étant ceux de l’Ouganda et de Sierra Leone. Dans le cadre du programme Remesha comme dans ses autres programmes-pays, Amnesty International aide les organisations partenaires à traiter efficacement des questions de droits humains pertinentes au niveau local, assure la formation des membres de ces organisations dans des domaines variés et leur fournit un appui technique et financier nécessaire pour mener à bien leurs activités. Au Burundi, les organisations partenaires, au nombre de sept, sont regroupées dans le cadre d’une coalition dénommée Twungurane (« Soyons solidaires », en Kirundi).
Les premières activités du programme Remesha ont été financées entre 2010 et 2011 sur un fonds mis à la disposition d’Amnesty International Pays-Bas par l’ONG néerlandaise KICI. A partir de 2012, les projets du programme ont été entièrement financés sur des fonds obtenus par Amnesty International Pays-Bas auprès du gouvernement néerlandais.
Pour s’adapter aux nouvelles réalités et orientations d’Amnesty International et à un environnement en pleine mutation, AI / HURICAP a maintenant décidé de mettre progressivement fin à ses programmes-pays et de se concentrer principalement à l’avenir sur ses programmes de renforcement des capacités. En outre, le financement externe pour les trois programmes d’Ouganda, du Burundi et de Sierra Leone se termine à la fin de l’année 2015. Dans cette double perspective, mais aussi pour se faire une idée aussi précise que possible de l’impact du programme Remesha sur la gestion et le fonctionnement des organisations partenaires ainsi que dans les communautés ayant bénéficié des activités du programme, Amnesty International recherche un Cabinet/Consultant capable et désireux de faire l’évaluation d’ensemble de celui-ci. Cette évaluation, complètera et s’ajoutera à d’autres études connexes ou similaires déjà menées dans le cadre et à propos de ce programme Remesha. La première de ces études date de 2012, où une évaluation organisationnelle a fait des recommandations pour l’amélioration du fonctionnement de la coalition Twungurane. Elle a été suivie en 2013 par une Enquête de Référence qui a permis de recueillir des données destinées à éclairer l’orientation des activités du programme et à servir de base à l’évaluation finale de l’impact de celles-ci. Enfin, tout récemment, en cette année 2015, pour les besoins de l’élaboration de sa stratégie de sortie de ses programmes-pays, Amnesty International a fait conduire une étude en vue d’évaluer l’impact de sa contribution à ces différents programmes, et la mesure dans laquelle ceux-ci ont atteint ou sont en voie d’atteindre leurs objectifs.
Les organisations partenaires du programme Remesha
Les partenaires du programme Remesha se présentent comme suit :
  • ACORD Burundi. Basée à Bujumbura, ACORD Burundi exécute les activités du Programme Remesha dans la commune de Cankuzo, dans la province de même nom.
    Centrée sur le développement et la justice sociale au profit des pauvres, ACORD Burundi a été jusqu’en juin 2015 l’hôte du Programme Remesha. A ce titre, elle recevait d’Amnesty International Pays-Bas les fonds destinés à la Coalition Twungurane et les mettait en temps opportun à la disposition des autres partenaires de la Coalition. Employeur du personnel du Programme, en l’occurrence un Chargé du Programme et une Assistante-Comptable, ACORD assurait aussi la coordination du Programme Remesha, en collaboration avec le Chargé du Programme.
  • L’association AGATEKA, constituée essentiellement de femmes et basée à Makamba, AGATEKA lutte contre les violences basées sur le genre. Elle exécute les activités du Programme à Nyanza-Lac.
  • L’Association des Femmes Juristes du Burundi (AFJB). L’AFJB a son siège à Bujumbura, et exécute les activités du Programme à Kiganda, dans la province de Muramvya.
  • Le Conseil pour l’Education et le Développement (COPED). Organisation catholique tournée vers le développement, COPED s’intéresse depuis quelques années aux droits humains. Bien que le siège de COPED se trouve à Bujumbura (et que COPED soit l’actuel hôte du Programme), c’est COPED Bururi qui est le partenaire du Programme, dont il mène les activités dans la commune de Buyengero, province de Bururi.
  • La Ligue des droits de l’homme Iteka (Ligue Iteka). La ligue Iteka, basée à Bujumbura, est l’une des plus vieilles organisations des droits humains au Burundi. Elle exécute les activités du Programme à Giharo, province de Rutana, dans le Sud.
  • L’Organisation de Lutte Contre la Corruption et les Malversations Economiques (OLUCOME). L’OLUCOME, basée à Bujumbura, lutte essentiellement contre la corruption et les malversations économiques. Elle exécute les activités du Programme à Kayanza, dans le Nord.
  • L’Union Chrétienne pour l’Education et le Développement des Déshérités (UCEDD). L’UCEDD, basée à Gitega, dans le centre du pays, oeuvre essentiellement à la promotion des droits des Batwa. Elle exécute les activités du Programme dans la commune de Buhiga, province de Karusi.
    Les projets du programme Remesha
  • Chacun des partenaires du programme Remesha est impliqué, conformément à ses propres choix, mandat, domaine(s) d’expertise et/ou centres d’intérêts, dans deux ou plus des projets ci-dessous.
    Projet 1
    Ce projet, qui comprend essentiellement des activités de renforcement des capacités des organisations partenaires, vise à soutenir le reste des projets du Programme, y compris sa coordination, dont l’emploi du personnel du Programme. Tous les partenaires y sont impliqués. Ses objectifs sont comme suit :
    Objectif général
    Renforcer la capacité des partenaires à oeuvrer efficacement à l’amélioration de la situation des droits humains dans leurs zones d’opération
    Objectifs spécifiques
  • Renforcer la capacité et les compétences des organisations partenaires et de leurs membres et/ou personnels à planifier, mettre en oeuvre et rendre compte de leurs activités de manière à ce qu'elles produisent un impact visible et mesurable sur les communautés bénéficiaires
  • Renforcer les connaissances, la compréhension et les compétences des membres et personnels appropriés des organisations partenaires dans les domaines pertinents pour leurs rôles et responsabilités
  • Assurer à tous les niveaux une coordination d'ensemble des projets et activités du programme afin d'en augmenter l'efficacité
  • Créer et développer entre les partenaires une synergie d'actions conjointes et efficaces en faveur des droits humains tant au niveau local que national
    Projet 2
    Ce projet vise la promotion des droits humains, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels, et l’accès à la justice pour les plus défavorisés. Il implique tous les partenaires du programme sauf un, OLUCOME. Ses objectifs sont les suivants :
    Objectif global
    Promouvoir les droits humains des populations rurales, en particulier les membres des groupes les plus vulnérables comme les femmes, les rapatriés et les Batwa, et contribuer à la promotion des droits humains dans les zones concernées, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels (DESC).
    Objectifs spécifiques
  • Renforcer la capacité des bénévoles en droits humains, en mettant un accent particulier aux DESC
  • Sensibiliser les communautés rurales et les autorités locales à leurs droits, à la gestion responsable et à la participation citoyenne
  • Promouvoir dans les zones d’opération la participation active des communautés et une culture d’égalité, d’équité et de non-discrimination
  • Renforcer les capacités des para-juristes et l’accès à la justice des communautés rurales
    Projet 3
    Ce projet ambitionne de sensibiliser les groupes les plus défavorisés dans le cadre d’activités génératrices de revenus visant à renforcer leur capacité économique de manière à les rendre plus aptes à réclamer leurs droits et à s’opposer aux violations de ceux-ci. Pour diverses raisons, ce projet n’a pu être mis en oeuvre au cours du présent cycle du programme, et ne fera donc pas l’objet de l’évaluation envisagée.
    Projet 4
    Ce projet, qui n’a commencé qu’au début de 2014, a pour objet de lutter contre l’impunité des violations des droits humains à travers la surveillance, documentation et rapportage des violations des droits humains, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels, et ses activités
    connexes. Le projet 4 est mis en oeuvre par quatre organisations partenaires, à savoir : ACORD, COPED, OLUCOME et la Ligue Iteka. Il poursuit les objectifs ci-dessous.
    Objectif global
    Contribuer à l’amélioration de la situation des droits humains dans les zones rurales, à travers la surveillance, la documentation et le rapportage des violations des droits humains (SDR) et la lutte contre l’impunité.
    Objectifs spécifiques
  • Renforcer la capacité et les compétences des OP concernées en SDR des abus et violations des DH en général et des DESC en particulier ;
  • OEuvrer, de concert avec les communautés locales, à la surveillance, documentation et rapportage des abus et violations des DH dont elles sont victimes ;
  • Agir aux différents niveaux appropriés contre l’impunité et pour le respect, la protection et la réalisation des DH des communautés concernées.

Objectif général de l’évaluation

Effectuer une évaluation de l'impact du Programme Remesha axée sur les changements obtenus au niveau des communautés de mise en oeuvre des projets du Programme, en comparant notamment la situation actuelle avec les données et autres résultats de l'Enquête de Référence de 2013.
L'évaluation devrait se concentrer sur les résultats et l'impact (changements à long terme, tant positifs que négatifs, prévus ou non, qui se sont produits du fait de l’intervention ou de la contribution directe ou indirecte du Programme), la pertinence et la durabilité du Programme.
L'évaluation vise à :
  • rendre compte de cinq ans d'investissements de la part des partenaires de Twungurane, d’Amnesty International /HURICAP et du gouvernement néerlandais, et ;
  • aider les partenaires de Twungurane, AI/HURICAP et d'autres intervenants à ajuster leurs approches lorsqu’ils poursuivront les activités du Programme ou mettront en oeuvre des projets similaires.

Portée de l’évaluation

L'évaluation devrait principalement se concentrer sur l'impact du Programme Remesha. Elle doit couvrir les changements qui se seront produits au cours de la période 2012 -2015.

Questions de recherche

Pertinence
 Dans quelle mesure le Programme a-t-il résolu les problèmes, répondu aux besoins et aux priorités des communautés cibles?
 Le Programme est-il pertinent au regard des interventions ou politiques d'autres organisations de la société civile (OSC), des structures communautaires ou des programmes gouvernementaux?
 Dans quelle mesure les partenaires se sont-ils servis et ont intégré les principes/stratégies des droits humains dans leur travail et ont utilisé le renforcement des capacités et autres matériels/manuels de formation existants de HURICAP?
Impact / efficacité
 Dans quelle mesure le Programme a-t-il atteint les résultats et objectifs prévus (voir les indicateurs dans les documents de projet)?
 Quels ont été les principaux facteurs qui ont influé sur la réalisation ou la non-réalisation des résultats et des objectifs?
 Quelles sont les stratégies qui ont été les plus / les moins efficaces et qu’est-ce qui peut être fait pour améliorer l'efficacité du Programme?
 Quels changements ont été réalisés sur les dimensions suivantes (entre autres, en comparaison avec les communautés non ciblées et les données de base)? :
a) changements dans l'activisme et la mobilisation;
b) changements dans les lois et les politiques locales;
c) changements dans les pratiques et la redevabilité/obligation de rendre des comptes des détenteurs d'obligations;
d) changements dans la vie des gens.
Durabilité
 Les changements mentionnés ci-dessus sont-ils durables et susceptibles de persister ou de continuer après la fin du Programme? Pourquoi/pourquoi pas?
 Les institutions locales soutiennent-elles le Programme, et sont-elles susceptibles de continuer à soutenir les initiatives produites par le Programme?
 Les partenaires locaux ont-ils la capacité de maintenir les acquis/bénéfices du projet? Comment AI / HURICAP peut-elle accroître davantage leur capacité?

Méthodologie

Le cadre méthodologique global de l'évaluation devrait être un cadre de méthodes mixtes dans lequel la collecte de données quantitatives sera combinée avec des techniques d'évaluation qualitative. L'évaluation utilisera à tout le moins la même méthode de collecte de données et couvrira les mêmes villages que l'Enquête de référence (communes et/ou collines où ont eu lieu les interventions du Programme, et communes et collines où il n’y a pas eu d’intervention du Programme -«communes de contrôle»). L'évaluation peut également inclure d'autres communes/collines, si les partenaires peuvent en indiquer la valeur ajoutée.
Les évaluateurs candidats sont invités à préciser la méthodologie qu'ils choisiraient pour la recherche qualitative des changements en matière d'impact. Nous suggérons de faire un inventaire des résultats/impacts proposés par les partenaires et les groupes communautaires, puis d’en sélectionner certains et d’examiner ce qui est effectivement arrivé, comment et en raison de quelle attribution ou contribution des acteurs concernés). Les méthodes qui pourraient être
appropriés sont le Changement le Plus Significatif (CPS –MSC, Most Significant Change, en Anglais), la Cartographie des Incidences (CI –Outcome Mapping, en Anglais), ou Collecte de Résultats (Outcome Harvesting, en Anglais). D'autres méthodes peuvent aussi être envisagées. Il appartient aux évaluateurs candidats de déterminer et expliquer quelle(s) méthode(s) ils aimeraient utiliser et comment.
Les évaluateurs devront également étudier des documents, et mener des entretiens avec des Informateurs-Clés (Key Informant, en Anglais) et des groupes de discussion pour la triangulation et l'enrichissement des conclusions, en particulier pour recueillir des explications plus approfondies du processus de changement initié par l'intervention ou des raisons des résultats identifiés. Un ou deux ateliers pourraient faire partie de l'évaluation, par exemple, un atelier de démarrage / formation des agents recenseurs / partenaires et / ou un atelier final de vérification.
Autant que possible, l'évaluation devrait être participative, impliquant des représentants communautaires, des bénévoles, des partenaires et AI / HURICAP.
En dehors de l’Enquête de référence, l'évaluation peut aussi être informée par l'Evaluation externe des Programmes-pays de Long Terme d’AI / HURICAP au Burundi et en Ouganda et l'Evaluation Organisationnelle de la Coalition « Twungurane » et du Programme « Remesha » au Burundi. Les rapports des partenaires sur les résultats obtenus peuvent également apporter une contribution pour évaluer les changements.

Planification et rapports

L'évaluation devrait commencer en décembre 2015, notamment avec les préparatifs (signature de contrat, revue documentaire, premiers contacts avec les partenaires locaux, etc) et se terminer en mars 2016. Le projet de rapport devra être soumis à HURICAP et aux partenaires pour commentaires courant février 2016, et le rapport final prêt en mars 2016 au plus tard.

Résultats attendus

Les évaluateurs devront remettre un rapport d'évaluation final de 50-70 pages, dont au moins un résumé, des informations sur la méthodologie utilisée, les constatations, conclusions et recommandations, et les annexes pertinentes. Les évaluateurs devront également remettre l'ensemble des données recueillies à AI / HURICAP, car les résultats resteront la propriété d'Amnesty International.

HOW TO APPLY:
Qualifications requises des évaluateurs candidats
 Une expérience prouvée dans des études d'impact, la recherche-action et les évaluations aussi bien quantitatives que qualitatives de programmes sociaux/socio-économiques, et de préférence les évaluations de programmes de droits humains en Afrique.
 Une vaste expérience de terrain en Afrique, de préférence au Burundi, avec les organisations communautaires et les ONG basées dans les zones rurales.
 Une compréhension avérée des processus de changement social, de préférence dans un contexte rural.
 De préférence une certaine connaissance et l'expérience des concepts et questions de droits humains, en particulier l’éducation/sensibilisation aux droits humains.
 De solides compétences d’analyse
 Une excellente aptitude à rédiger des rapports
 Un esprit de coopération, la capacité de travailler avec une variété d'organisations partenaires et le personnel du projet.
Nous apprécierions avantageusement des propositions venant d’équipes composées d’évaluateurs internationaux et d’évaluateurs originaires du Burundi ou de la région des Grands Lacs.
Comment faire acte de candidature
Les évaluateurs candidats (individus ou équipes) sont invités à soumettre une lettre de motivation, les Curriculum Vitae et / ou profil de l'entreprise, des exemplaires de travaux similaires pertinents (notamment des rapports d'évaluation) précédents, avec une offre technique mettant en exergue la méthodologie devant être utilisée, le délai nécessaire pour la réalisation de cette mission, et un budget incluant tous les coûts (transport, hébergement, coûts de la visite de terrain, etc), y compris les honoraires professionnels.
Prière envoyer tout dossier de candidature accompagné des documents d’appui pertinents au plus tard le 27 novembre 2015, délai de rigueur, à : Maya Verlinden, Chargé de l’Administration et des Finances de AI/HURICAP : m.verlinden@amnesty.nl, avec copie à Wim de Regt : w.deregt@amnesty.nl et Koffi Hatriagba Aglébé : k.aglebe@amnesty.nl

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